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La Gazette

  • Photo du rédacteur: Odile
    Odile
  • 6 janv. 2021
  • 2 min de lecture


Au nom de N’dolo, je vous souhaite à vous ainsi qu'à vos proches une excellente année 2021, et je vous présente mes meilleurs vœux de bonheur, ainsi qu'une santé de fer. J’espère que chacun d’entre vous a pu traverser 2020 avec le moins d’encombres possible, et je vous souhaite de passer une année 2021 resplendissante, et plein de belles choses.

Pour nous, 2020 aura été une année riche en émotions contradictoires :


*Premier trimestre

  • Réalisation des premiers prototypes de nos t-shirts en coton bio et validation des modèles

  • Début du tournage du court-métrage

  • Obtention d’un bureau en pépinière après présentation du projet à un jury de professionnels

*Deuxième trimestre

*Troisième trimestre

*Quatrième trimestre

  • Un début d’activité encourageant

  • Des retours positifs de nos clients et de notre communauté Instagram

  • Une phase d’accalmie au niveau des ventes

  • Un excellent Marché de Noël au Kimia Café

  • Et quelques bonnes nouvelles sur un plan personnel

Pour N'dolo, l'année 2021 sera placée sous le signe du bonheur et de la positivité, quoi qu'il arrive. Parce qu'après une année 2020 inattendue, improbable et angoissante pour beaucoup d'entre nous, il est temps de reprendre la main sur notre bien-être. Alors en 2021, soyons heureux quoi qu'il en coûte. Et pour nous faciliter la chose : sourions, rions, rêvons, et concentrons-nous sur les choses positives. Entrons ensemble dans un cercle vertueux : le positif amène le positif.

Et 2021 sera une année charnière. Nous sommes dans une phase importante de développement de notre notoriété, et nous comptons sur vous pour parler un maximum de notre marque autour de vous. Nous souhaitons voir rayonner notre marque, et que le nom N’dolo soit associé à la mode éthique, aux vêtements de qualité, et à une démarche écoresponsable.

Belle année à tous !

Dernière mise à jour : 30 sept. 2020

Comment ne pas consacrer cette revue de presse à un hommage appuyé au mouvement #BlackLivesMatter et à toutes les victimes de violences racistes à travers le Monde. Il est incroyable qu’aujourd’hui certains continuent de faire des différences de traitement envers d’autres Êtres Humains sur le seul critère qu’est la couleur de leur peau.


Parti des USA, ce mouvement nous concerne également


Evidemment, chez N’dolo, nous nous joignons aux protestations et crions notre indignation et notre volonté de voir ces agissements s’arrêter. Nous sommes fiers que des rassemblements mêlant hommes et femmes de tous âges, de toutes couleurs de peau, et de toutes origines, aient lieu en ce moment partout dans le Monde. Parce qu’évidemment, ne nous voilons pas la face, ce n’est pas qu’un problème américain. Ici aussi les mots #IcantBreathe trouvent un écho. Ici aussi la violence policière existe, sous diverses formes : tutoiement, contrôles à l’excès, arrestation parce que « tu ressembles à la description : un jeune homme noir avec un sweat rouge », etc.


Et nous sommes tristes de voir que nos dirigeants français appellent à l’annulation de ces rassemblements sous prétexte de crise sanitaire (prétexte qui ne s'applique plus quand il s'agit de prendre les transports en commun ou d'envoyer nos enfants à l'école). Nous avons tous vu ces images des manifestants masqués, distants les uns des autres, s’efforcer de respecter les gestes barrières. Nous sommes tristes que nos dirigeants ne prennent pas davantage la parole pour soutenir ces mouvements populaires, qui sont avant tout des preuves d’Humanité et un appel au vivre ensemble. Nous sommes tristes que certains grands médias continuent de laisser une place majoritaire à la parole d’éditorialistes racistes qui ne cherchent qu’à mettre de l’huile sur le feu pour discréditer ces mouvements. Qui osent inverser le rapport de force en essayant de nous faire croire que les premières victimes du raciste ce sont les blancs. Qui nous disent que « les noirs sont avant tout tués par des noirs » comme si (peu importe la véracité ou non de cette « information ») cela pouvait justifier des meurtres racistes. Qui nous disent que le « privilège blanc » n’existe pas (à ce sujet, écoutez la magnifique lettre ouverte de Virginie Despentes).


Au-delà de la communauté opprimée


Nous n’oublions pas non plus toutes les victimes de racisme issues des autres communautés (asiatiques, arabes, musulmans, juifs, kurdes…), ainsi que les victimes de toutes discrimination. Nous sommes tristes de constater tout le chemin qu’il reste à parcourir mais voulons penser qu’un jour le monde ira mieux. Nous voulons penser que notre enfant lusitano-franco-camerounais n’aura pas à subir ces regards, ces remarques, ces brimades. Nous voulons penser que chacun de nous pouvons, à notre échelle, faire de petites choses pour convaincre « l’autre » que nous sommes tous égaux. Et nous pensons que cela passe avant tout par l’éducation de nos enfants, parce que comme le dit le rappeur Medine « c’est mieux de construire des enfants forts, que de réparer des adultes cassés ».


Heureusement, on voit ces derniers jours des images puissantes qui nous laissent penser que les choses évoluent. La contestation ne vient plus uniquement du peuple opprimé, ni même du peuple tout court, mais apparait petit à petit au sein même des institutions. Aux Etats-Unis, des policiers commencent eux aussi à mettre un genou à terre lors de manifestations #BlackLivesMatter. On également vu qu’à Washington, la Ville a autorisé que soit peint le slogan « Black Lives Matter » en lettres géantes sur un boulevard en face de la Maison Blanche. Dans une moindre mesure, le #BlackOutTuesday, a montré que de nombreuses personnes se sentent concernés par ces problèmes.


Et après ?


Evidemment, nous ne sommes pas naïf, et nous savons que tout peut retomber en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. D'ailleurs, ce mouvement global est l’occasion de voir ce qui ressemble fortement à des coups de communication, voire des récupérations par de nombreux dirigeants du monde politique, industriel ou sportif. Le dernier exemple en date étant celui du président de la NFL qui s’est "excusé de ne pas avoir écouté les joueurs plus tôt" sur la question du racisme… 4 ans après le genou à terre de Colin Kaepernick.

Alors, il faut savoir prendre ce qu’il y a à prendre, mais surtout tirer un maximum de positif de tout ce qui se met en place en ce moment, en espérant que ce mouvement sera durable et pas seulement un effet de mode.

Dernière mise à jour : 30 sept. 2020

La mode est un éternel recommencement parait-il. Nombreuses sont les vêtements qui ont traversé les générations, en étant tour à tour « à la mode », puis « ringardes », puis de nouveau « à la mode », etc.

Chez N’dolo, nous prônons une mode éthique et éco-responsable. C’est pourquoi nous ne commercialisons que des produits durables, en coton bio (et Made in France) : des vêtements de qualité, et un style qui ne suit pas les tendances et les diktats de l’industrie de la mode, et qui ne deviendront donc jamais ringards. Pour cela, rien de mieux que de proposer des basiques. Un basique, pour nous, c’est un vêtement qui ne lasse pas celui qui le possède.

Sans avoir la prétention d’être des gourous de la mode, et conscients que le style est avant tout une affaire personnelle, mon associé (qui se trouve être également mon mari) et moi-même vous présentons ici nos basiques. Témoignages.



Odile : du blanc, de la marinière, et des accessoires pour varier les styles.

"En ouvrant ma penderie, il est facile de deviner les pièces qui sont mes intemporels : t-shirts blancs ou noirs, jeans, chinos et marinières (manches courtes, manches longues, col rond, col V, tout y est !). Ces éléments s’accordent en toute situation et en toute saison. L’objectif est d’éviter d’avoir une pièce qui ne s’accorde qu’avec peu d’autres, et qui trainera donc au placard des semaines et des mois.

En revanche, hors de question d’avoir l’impression d’être habillée chaque jour pareil. C’est pourquoi mes t-shirts ne sont pas toujours unis (un petit logo par ici, une phrase par-là).

A côté de cela, j’agrémente mes tenues d’accessoires qui vont me permettre de varier chaque jour mon style autour de cette composition de basiques :

- Ceintures : fine ou large, unie ou à motifs.

- Boucles d’oreilles : en perles, pendantes, ou colorées

- Chaussures : les baskets pour le confort, les ballerines pour les jours de chaleur et les talons pour les rendez-vous professionnels

- Vestes : en jean (la classique, intemporelle), la veste de blazer, ou la veste de sport pour trainer à la maison le dimanche

- Robes : pour varier les plaisirs et être la plus belle aux anniversaires, mariages, etc."


Cyril : en chemise ou en polo, mais toujours en chino !


"Mes basiques ont évolué au fil des ans : les jeans et t-shirts, bien que toujours présents, ont fait une grande place aux chinos, polos et chemises. Alliant confort et élégance, ces pièces me permettent aussi bien d’assurer mes rendez-vous professionnels (en chemise) que de partager un samedi convivial autour d’un barbecue (en polo). Le chino, lui, est devenu mon meilleur ami, que je délaisse quand même quelques fois pour un bon vieux jean. Niveau couleur, rien de trop original, et c’est bien cela qui me permet de conserver mes vêtements à travers les saisons et les collections sans avoir à en changer tous les six mois :

- Pour les chinos : du noir, du bleu marine et du beige pour les tenues formelles. Un vert et un gris pour les jours off.

- Pour les chemises : du blanc et du bleu uni, un peu de rayé et de carreau. Et une chemise à motifs « discrets » pour ne pas m’en lasser.

- Pour les polos : en plus du blanc et du gris, quelques couleurs pour égayer mon style le week-end.


Comme Odile, j’aime agrémenter mes tenues d’accessoires mais ma liste est moins longue :

- Des montres : des variations de bleu et de marron pour les montres classiques, et une montre connectée pour un look plus décontracté.

- Des chaussures : baskets grises ou blanches, ou chaussures de ville marrons. Là encore, ça s’accorde avec tout. Que du basique on vous dit !

L’important pour moi, comme pour Odile, c’est que chacun se sente à l’aise dans ce qu’il porte. C’est la base la plus importante pour sélectionner ses propres basiques et entrer dans une démarche éco-responsable. Ce que nous ne voulons pas, c’est un système qui pousse les gens à consommer des vêtements comme des produits jetables, voire à usage unique (poussés par certain(e)s pour qui il est hors de question d’être vu(e)s deux fois dans la même tenue…)."


Encore une fois, le basique est une affaire personnelle, et avant tout, une affaire de style. Et surtout n’oubliez pas, comme disait Coco Chanel : « La mode se démode, le style jamais ».

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