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La Gazette

  • Photo du rédacteur: Cyril
    Cyril
  • 2 sept. 2020
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 30 sept. 2020

Slow food, slow TV, slow travel, slow fashion… : c’est la slow life ! Plus qu’une tendance, c’est un véritable art de vivre qui s’installe petit à petit chez nous, après avoir fait de nombreux adeptes dans les pays scandinaves. Alors oui, on n’en est pas encore à regarder un train qui roule ou un aigle qui vole pendant 10 heures (et pourtant les images sont belles), mais on réfléchit à nos modes de consommation et on passe petit à petit à une consommation réfléchie et raisonnée.

Changer ses habitudes


Dans le monde de la mode (la slow fashion), cela se traduit notamment par la suppression des notions de saison ou de collection : pourquoi renouveler tous les 6 mois ? Pourquoi pousser à la consommation ? Pourquoi faire du vêtement consommable, voire jetable ? La slow fashion, c’est avant tout consommer ce dont on a besoin, et surtout consommer dans la durée : on consomme des vêtements éthiques. On privilégie la qualité pour s’assurer que le jean qu’on achète ne va pas craquer à l’entre-jambe au bout de 6 mois, ou que le col du pull ne va pas se découdre au premier lavage.


Pour durer, il faut aussi dépasser les tendances, et donc s’orienter sur du basique. Et cela n’empêche en rien de varier les coupes, les couleurs ou les motifs. Simplement, on s’oriente vers de l’intemporel (on évite les « pattes d’eph », les motifs léopards ou la peau de serpent).



Cette démarche étant évidemment drivée par des préoccupations éthiques et écologiques, on en profite pour s’orienter vers producteurs et des marques écoresponsables qui mettent en place des circuits courts, qui utilisent du coton bio, qui font du Made in France, qui possèdent des labels reconnus (GOTS par exemple), etc.


« La route est droite mais la pente est forte »


J’entends déjà les taquins me dire que si on veut vraiment avoir un impact, alors il faut arrêter de consommer. Pourquoi pas. Mais ce n’est pas le meilleur argument pour convaincre tout un chacun de faire des petits gestes qui, mis bout à bout, auront un impact positif. Mon conseil pour se convertir à la slow fashion : à chaque fois que j’achète un vêtement, j’en retire un (ou deux, ou trois, ou quatre…) de mon armoire, puis je donne une seconde vie à ce produit :

- En le vendant d’occasion

- sur des sites comme Leboncoin, Vinted, ou VestiaireCollective

- sur des brocantes

- En en faisant don à des associations comme Emmaüs

- En le donnant à des amis qui seraient ravis de renouveler leur garde-robe avec un impact écologique nul


En suivant cette démarche, doucement mais sûrement, ma penderie sera composée uniquement de vêtements utiles, durables, et intemporels. Il faut juste oser le premier pas !

  • Photo du rédacteur: Odile
    Odile
  • 29 juil. 2020
  • 1 min de lecture

Dernière mise à jour : 30 sept. 2020

Hello,


Nous partons pour des vacances bien méritées, nous ressourcer pour être d'attaque pour la rentrée.

Nous revenons début septembre avec de nouveaux articles sur la mode éthique, la slow fashion, le "consommer autrement", le made in France, la mode ethnique, etc.


Pour ne rien vous cacher, nous travaillons activement pour la sortie de la première collection...


En attendant, si nous vous manquons trop, n'hésitez pas à lire et relire nos articles. Et si vous souhaitez être informés de nos news, inscrivez-vous à contact@ndolo.fr.

Sinon il vous reste toujours notre playlist de l'été à écouter :)


Affectueusement la Gazette






Dernière mise à jour : 30 sept. 2020

Qu’est-ce que la Diversité ? C’est d’abord une valeur forte prônée par N’dolo. Mais c’est aussi, tout simplement, une multitude de femmes et d’hommes partageant des us et coutumes différents, et vivant au sein d’une même société. En France, cette réalité ne date pas d’aujourd’hui. Par son histoire, l’hexagone comptabilise deux siècles d’immigration, couplés à plusieurs siècles de colonisation.

Je vous vois déjà commencer à sourciller, en vous demandant où je veux en venir ! Pas de panique, l’objet de ce billet est de parler de diversité et rien que de DIVERSITÉ ! Taquine ? Moi, jamais !



Cuisine et arts : un accès facile à « l’autre »


La France est donc le pays de la diversité ! Pour les personnes ayant déposé leurs bagages dans de grandes agglomérations telles que Bordeaux, Montpellier, Paris (la liste est longue), être entourées de différentes saveurs, douceurs et odeurs permet de rêver en permanence d’un ailleurs, tant la diversité est une chose faisant pleinement partie de notre quotidien.

Quand on parle de diversité, on parle aussi musique, cuisine, littérature, croyance, appartenance, communauté, art, histoire et je pourrais continuer comme ça…

Par exemple, l’exposition PARIS-LONDRES (1962-1989) Music Migrations retrace le plus fidèlement, à travers la musique, la place de la diversité. Nombreux sont ceux qui ont embrassé ce vivre ensemble, cette diversité constructive et significative, dans un but commun : RA-SSEM-BLER.

Autre exemple, pour les plus gourmands, trouver un restaurant africain, asiatique, méditerranéen, sud américain ou même de l’est européen, n’est plus aussi compliqué qu’il y a quelques années encore !


La Diversité comme acte militant


Des festivals, plus ou moins récents, revendiquent aussi cette diversité. We Love Green, en autres, propose depuis 2011 dans le Bois de Vincennes des artistes de divers univers inspirants, avec une énergie incroyablement bienveillante. Le tout, dans un concept totalement éco-responsable (« refuser, réduire, réutiliser, recycler, composter ») ! Ce festival intègre même des ateliers de prises de paroles sur les sujets de développement durable, ou de consommation responsable, et des stands de producteurs et de créateurs locaux (dont certaines marques de vêtements éthiques, s’inscrivant dans une démarche de prêt-à-porter durable).

Dans le Finistère, Les Vieilles Charrues, un incontournable créé en 1992, est un festival 100% associatif, porté par des valeurs fortes de solidarité, de développement durable et d’encrage territorial. 4 jours de pure folie garantie !

Sans oublier la fête de l’Humanité, qui voit le jour le 7 septembre 1930. En premier lieu, la fête de l’Huma, rebaptisée ainsi depuis des décennies, c’est la France solidaire, la France qui se bat pour une vie meilleure, la France de tous les horizons et surtout, c’est la France de la DI-VER-SI-TÉ.


Le luxe « made in France »


En 2011, à tout juste 25 ans, Olivier Rousteing est nommé Directeur Artistique de la Maison Balmain. Non seulement il est talentueux, mais il est aussi avant-gardiste ! La touche à la française, comme on sait si bien le faire. Encore une fois, on ne le dira jamais assez : la diversité est l’ADN de la France.


La littérature n’est pas en reste, diverses librairies (pas assez nombreuses, pour l’amoureuse de lecture que je suis), proposent des contenues variés. Des librairies comme Présence Africaine (dans le Xème arrondissement de Paris), Le Phénix, librairie spécialisée en littérature venant d’Asie (IIIème), ou Le Cariño, petite perle située dans le Xème. Cette dernière vous invite à vous détendre dans un lieu convivial : café, maté, pâtisserie et épicerie simple d’Argentine. Une manière atypique d’aborder la littérature latino-américaine contemporaine, grâce à un rayon dédié à cet effet.

Et tout cela sans compter les divers évènements célébrant la diversité, proposés sous formes de salons, boutiques éphémères, expositions, manifestations en tous genres. Vivre en France, c’est avoir une culture diversifiée aux multiples couleurs. Une bulle multi-bonheurs !!!



mains noires, blanches, marron, noires qui représentent la diversité

Photo: Humanae Projet - Angélica Dass

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