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La Gazette

Dernière mise à jour : 30 sept. 2020

Avoir une garde-robe éthique c’est bien, savoir l’entretenir pour qu’elle dure, c’est mieux !

Alors oui, pour conserver ses vêtements le plus longtemps possible, il faut investir dans la qualité et non pas dans la quantité. Mais pas uniquement : il faut aussi savoir l’entretenir au quotidien.



Voici quelques habitudes à prendre pour un linge plus neuf que neuf :

  • Savoir lire les étiquettes ! Non, il ne faut pas un bac + 5 pour les comprendre. Les étiquettes donnent pas mal d’informations sur comment nettoyer son vêtement.

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  • Y aller mollo sur la fréquence des lavages ! Cendrillon sort de ce corps ! Un jeans se lave quand il a été porté 4, 5, 6 fois... . Et ça ne fait pas de vous un(e) crado ! Petite astuce : le jean se lave à l’envers 😉


  • Utiliser une lessive maison ou naturelle. Les lessives industrielles peuvent parfois abîmer les couleurs vives car elles contiennent des agents blanchissants.


  • Adapter la température du programme en fonction du linge qu’on lave. Si le linge n’est pas trop sale, une température à froid ou à 30° max fera l’affaire. C’est une économie d’énergie non négligeable.


  • Faire attention à l'essorage. Sa vitesse peut casser la fibre. On diminue donc à 800 tours/minute maximum.


  • Si le linge est trop délicat, on n’hésite pas à mettre la main à la patte. Comme mémé avant l’arrivée de la machine à laver.


  • Etendre le linge immédiatement après la fin du cycle de lavage. Sinon ça casse aussi la fibre et en plus ça froisse le linge.


  • Le soleil est votre ennemi ! Alors oui il fait sécher le linge plus vite mais les couleurs peuvent en pâtir, et le ligne risque d'avoir un effet cartonné. Donc on le sèche à l'air libre tout en le protégeant du soleil.


Avec tout ça, vous devriez arriver à garder vos vêtements plus longtemps. C'est aussi un moyen d'intégrer une démarche éco-responsable facilement dans notre quotidien à tous.



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Dernière mise à jour : 30 sept. 2020

Les mouvements « écologique » et « slow » (slow fashion, slow food…) prennent de l’ampleur et trouvent de plus en plus leurs publics. Chez Ndolo, nous garantissons par exemple une mode éthique, et des procédés de fabrication éco-responsables. Mais de nombreuses marques tentent de se faire une place dans ces mouvements à coup de « greenwashing ».




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Qu’est-ce que le « greenwashing » ?


Le greenwashing – ou en français : écoblanchiment – est un procédé utilisé par une marque pour faire croire aux consommateurs qu’elle a un positionnement écologique. Souvent pour redorer leurs images, certaines marques vont mettre en avant des valeurs écologiques qui ne sont pas en adéquation avec leurs pratiques afin de toucher de nouveaux consommateurs.



Reconnaître le greenwashing



Le greenwashing s’appuie sur des symboles et idéologies ancrés dans la vie des français :

  • Le vert, les feuilles, la nature : des symboles qui rappellent le bio et laissent penser que la composition du produit est clean ;

  • Les mentions « bio », « sans silicone », « d’origine naturelle », etc.

Ces codes créent une confusion dans l’esprit du consommateur le laissant penser que la marque porte un ensemble de valeurs écologiques.



Comment ne pas tomber dans le piège ?


En tant que consommateur, il peut arriver de choisir le « mauvais » produit. C’est-à-dire : à la recherche d’une crème visage bio, vous vous rendez naturellement dans le rayon « crème visage ». Instinctivement, vous serez attiré par les packagings « vert » ou montrant la « nature ». C’est à partir de ce moment-là que vous devrez discerner les marques avec une réelle intention écologique et celles qui n’ont aucune valeur écologique mais souhaitent être visibles dans ce rayon.

Quelques solutions pour ne pas tomber dans le piège :

  • S’informer sur les marques à privilégier et celles à (malheureusement) écarter ;

  • S’équiper d’applications ou sites internet greens qui vous aideront à décrypter les compositions des produits.

Si vous avez un peu de temps, prenez un moment pour vous interroger sur l’engagement véritable de la marque, sur ses modes de production, sur la composition de ses produits etc.



Et les marques éthiques et responsables ?


Les marques éthiques et responsables peuvent avoir du mal à émerger. Pourquoi ? Par souci d’alignement avec ses valeurs, une marque éthique se passe souvent de publicités (télévision, journal, radio, etc.) souvent coûteuses ou de packagings tape-à-l’œil (vert, nature, feuilles, etc.). Ces marques sont au contraire adeptes du minimalisme et misent sur leurs valeurs profondes et sincères pour toucher leurs cibles. D’où parfois une plus faible visibilité.


Chez Ndolo, nous prônons la transparence : notre priorité est de vous fournir des produits de qualité tout en limitant notre impact écologique. Et parce que nous avons à cœur de préserver l'industrie locale, hormis notre coton bio qui provient de Grèce, toutes les entreprises impliquées dans la création de nos t-shirts sont situées en France. C’est ainsi que nous garantissons une mode éthique, et des procédés de fabrication éco-responsables.

 
 
 
  • Photo du rédacteur: Cyril
    Cyril
  • 2 sept. 2020
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 30 sept. 2020

Slow food, slow TV, slow travel, slow fashion… : c’est la slow life ! Plus qu’une tendance, c’est un véritable art de vivre qui s’installe petit à petit chez nous, après avoir fait de nombreux adeptes dans les pays scandinaves. Alors oui, on n’en est pas encore à regarder un train qui roule ou un aigle qui vole pendant 10 heures (et pourtant les images sont belles), mais on réfléchit à nos modes de consommation et on passe petit à petit à une consommation réfléchie et raisonnée.

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Changer ses habitudes


Dans le monde de la mode (la slow fashion), cela se traduit notamment par la suppression des notions de saison ou de collection : pourquoi renouveler tous les 6 mois ? Pourquoi pousser à la consommation ? Pourquoi faire du vêtement consommable, voire jetable ? La slow fashion, c’est avant tout consommer ce dont on a besoin, et surtout consommer dans la durée : on consomme des vêtements éthiques. On privilégie la qualité pour s’assurer que le jean qu’on achète ne va pas craquer à l’entre-jambe au bout de 6 mois, ou que le col du pull ne va pas se découdre au premier lavage.


Pour durer, il faut aussi dépasser les tendances, et donc s’orienter sur du basique. Et cela n’empêche en rien de varier les coupes, les couleurs ou les motifs. Simplement, on s’oriente vers de l’intemporel (on évite les « pattes d’eph », les motifs léopards ou la peau de serpent).



Cette démarche étant évidemment drivée par des préoccupations éthiques et écologiques, on en profite pour s’orienter vers producteurs et des marques écoresponsables qui mettent en place des circuits courts, qui utilisent du coton bio, qui font du Made in France, qui possèdent des labels reconnus (GOTS par exemple), etc.


« La route est droite mais la pente est forte »


J’entends déjà les taquins me dire que si on veut vraiment avoir un impact, alors il faut arrêter de consommer. Pourquoi pas. Mais ce n’est pas le meilleur argument pour convaincre tout un chacun de faire des petits gestes qui, mis bout à bout, auront un impact positif. Mon conseil pour se convertir à la slow fashion : à chaque fois que j’achète un vêtement, j’en retire un (ou deux, ou trois, ou quatre…) de mon armoire, puis je donne une seconde vie à ce produit :

- En le vendant d’occasion

- sur des sites comme Leboncoin, Vinted, ou VestiaireCollective

- sur des brocantes

- En en faisant don à des associations comme Emmaüs

- En le donnant à des amis qui seraient ravis de renouveler leur garde-robe avec un impact écologique nul


En suivant cette démarche, doucement mais sûrement, ma penderie sera composée uniquement de vêtements utiles, durables, et intemporels. Il faut juste oser le premier pas !

 
 
 
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